Vous en savez surement déjà assez sur les nombreux avantages fascinants de l’huile d’onagre pour la santé. Cependant, saviez-vous qu’elle fait des merveilles pour des affections telles que le syndrome prémenstruel, l’arthrite, l’eczéma et même les maladies cardiovasculaires ? Découvrez cette huile précieuse.
D’où provient cette huile ?
L’Œnothera biennis, souvent appelée onagre en raison de l’ouverture de ses pétales en fin de journée, est une petite fleur sauvage jaune qui pousse dans les sols arides et sablonneux. Les Amérindiens d’Amérique du Nord, qui consommaient sa racine et ses graines, ont fait cette découverte. Ils la prenaient pour soigner les maux de tête ou d’estomac et l’utilisaient en cataplasme pour soigner les plaies, les blessures ou les problèmes respiratoires.
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Les principes de la plante doivent être extraits des graines afin d’obtenir l’huile d’onagre. L’huile d’onagre est un allié précieux pour notre santé car elle est particulièrement riche en vitamine F, ou acides gras insaturés vitaux, qui sont indispensables à l’absorption des vitamines, notamment les inestimables vitamines A et D. Un précurseur des prostaglandines, qui sont des molécules présentes dans un grand nombre de nos organes et tissus, est leur acide gras indispensable.
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Ces prostaglandines réduisent la pression artérielle, soulagent des affections cutanées comme la dermatite, hydratent la peau et ont des propriétés anti-inflammatoires et de régulation du cholestérol.
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Privilégiez des gélules de qualité
L’huile d’onagre est disponible sous différents conditionnements : capsules, flacons, ovules, etc. Cependant, arrêtons-nous un instant sur les capsules. La capsule traditionnelle est constituée de gélatine de bœuf ou de porc, à laquelle on peut ajouter des ingrédients opaques comme le dioxyde de titane et des colorants si le fabricant ne souhaite pas qu’elle soit transparente. En outre, il existe des capsules végétariennes qui ne contiennent aucun ingrédient d’origine animale et, plus rarement, des capsules à base de poisson. Les gélules font partie des « matières premières pharmaceutiques » en France car elles sont considérées comme des « composants de mise en forme pharmaceutique ».
